Messages : 9 Date de naissance : 06/06/1997 Date d'inscription : 14/08/2013 Age : 26
Bonjour, je m'appelle K. Justice Quinzel et il se trouve que je suis dirigeant du club de musique à l'académie.
Sujet: JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS Mer 14 Aoû - 21:39
Justice « King » Quinzel
son nom, quinzel son prénom c'est justice mais il se fait appeler king né à LA en 2137, il a maintenant 17 ans américain par son père, français par sa mère c'est un étudiant hybride capable de se transformer en lion
justice a toujours un chewing-gum dans la bouche, justice aime vivre à la skins, justice fait tendrement l'amour à la vie, justice n'aime pas parler, justice préfère scratcher ses platines, justice préfère redécorer les murs avec sa bombe de peinture, justice préfère cramer ses poumons, justice n'est pas comme toi, justice ne sera jamais comme toi, justice n'en a rien à foutre, justice n'est pas là pour les autres, justice ne fera pas d'effort, justice porte un masque pour le prouver
menthe allemand
justice, c'est un mauvais type celui qui fait fondre les minettes celui qui se pourlèche les babines.
en lui résonne la rage, une rage subite, une rage conquise, il fait du mieux qu'il peut pour l'apprivoiser, la câliner, la détester mais il finit par se brûler les doigts, les ailes, les baskets.
c'est normal, à trop vouloir de reconnaissance justice ne peut pas avoir et le respect et l'amour alors il choisit le plus dur, il prend près de lui le plus simple parce que faire le beau est plus stupéfiant plus stupéfiant qu'avoir un cœur.
il traque, si tu fais bien attention il traque la beauté du corps la fascination le mène a certains délits la fascination l'emmènera loin elle ammène son art jusqu'au bout
ça le fait raisonner on entends de l'écho à l'intérieur de lui c'est vide oh oh putain c'est totalement vide, ce qui l'habitait a déserté depuis des années
et le feu le feu qui brûle à l'intérieur de ses veines ne s'atténue pas il empire et le démange, le jeu le prendra il ne renoncera pas car justice ne perd jamais même à pile ou face
bi-bi-biographie
wilson, son père était un fils de pute. a cause de justice, ils avaient dû partir de l'Amérique, alors depuis justice n'était jamais à la hauteur, justice n'était qu'un déchet, il avait juste le droit de recevoir, recevoir des coups, ce gamin n'était pas normal, « fiston tu ne seras jamais un homme prend ce bus et tire toi de là » était-ce par honte, était-ce par contrainte, justice ne saura jamais pourquoi son père buvait autant, pourquoi ça le dérangeait autant que son unique fils soit différent ? c'était de lui que venait cette hargne qui brûlait son intérieur, tous les soirs où, rentré un peu trop tard, justice subissait le flamme des allumettes tenu par son père, tous les soirs où justice filait en douce rejoindre kira
kira, la fille de joie. la voisine avait une fille, un sacré numéro, quand les autres puceaux la voyaient c'était le titanic dans leurs caleçons, mais pas justice, justice lui n'aime pas les fillettes et leur voix trop aigües, il n'aime pas non plus leur façon de porter des jupes et de tortiller leurs mèches de cheveux au bout de leurs doigts mais kira avait insisté, kira l'avait forcé à aimer, à contrecoeur, à contrecourrant, il trouvait du réconfort au près de sa blonde quand la tension le surmenait, le prenait et voulait l'emmener, elle lui donnait son corps, son temps, son amour mais déjà à cet âge là, justice était vide, justice ne donnait plus rien, justice ne voulait rien, il acceptait tout mais ne rendait rien si bien que kira s'éteignait elle-aussi pas comme léa
léa, la lâcheté. il était son rayon de soleil, elle l'avait tant espéré alors que wilson non, elle avait tellement prié alors que wilson buvait, justice était sa seule réussite « mais parfois la vie mon bébé, ça se passe pas comme on veut » « m'man ? y m'ammène où le type avec sa blouse là ? putain maAMAN ! » plus de fric pour payer les frais de la nouvelle maison, celle qu'ils venaient d'avoir, la japonaise, eux en avaient, eux avaient la solution il suffisait de donner son fils, de le laisser se faire piquer une ou deux fois et il revenait dans le mois qui suivait comme si de rien mais justice n'allait pas revenir en n'étant rien, on l'envoya à l'école et sirk débarqua
sirk, le bruit du mascara qui dégouline. c'était pas sa première fois à l'école, il avait souvent été viré parce que justice défiait sans cesse wilson mais l'institut l'avait plongé dans le mutisme, comme si son existence avait été mise sur pause, on l'avait obligé à retourner étudier il avait quinze ans, il avait des envies fauves, l'intérieur de son être avait été retapissé il avait entrepris de seulement changé l'extérieur, alors qu'il cramait sa clope sur son bras sirk est arrivé, sirk était le caïd de ce bahut, sirk allait tailladé justice parce qu'il osait s'appeler justice et qu'il ne parlait pas mais sirk ne l'avait pas fait parce que sirk sous ses airs trop dur aimait aussi les garçons et justice plus que les autres parce qu'il allait devenir le king
king, l'invincible. toujours à terre, toujours piétiné, toujours morfler, depuis toujours c'est son quotidien mais son quotidien est parti en fumé, son quotidien a été transformé par les aiguilles, par le liquide coulant dans ses veines, par les visages masqués, justice est devenu quelqu'un d'autre, justice n'est plus le petit garçon de léa, justice peut enfin aimé les garçons parce que justice n'est plus justice mais le king, il détruit tout, il peut si il le veut crier et devenir le plus fort dans cette maison, il peut étaler ses envies sur les murs le séparant de sirk mais wilson réagissait toujours, wilson décidait toujours et wilson l'envoya loin
broken, et les étrangers le resteront toujours. la danseuse tournait dans le même sens depuis des heures, triste signe de décadence, king perdait en temps, perdait en humanité, gagnait en respect, gagnait en charisme, dans sa prison, il prenait son pied il perdait pied dans la provocation car il avait dû depuis longtemps renoncer à revoir sirk à moins que le même sort l'attende, à moins que les aiguilles le transperce aussi et qu'il devienne comme king aussi fort qu'un lion
behind the screen
NIB 16 ETHAN TOUS LES JOURS CAPSLOCK SUCK Eth'nomnomnom :3
FICHE PAR ROMANE
Dernière édition par K. Justice Quinzel le Jeu 15 Aoû - 18:07, édité 1 fois
Messages : 62 Date d'inscription : 24/07/2013
Bonjour, je m'appelle Ethan R. Sterling et il se trouve que je suis étudiant à l'académie.
Sujet: Re: JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS Jeu 15 Aoû - 15:36
Il est effectivement space x) En attente de l'histoire =P
Messages : 9 Date de naissance : 06/06/1997 Date d'inscription : 14/08/2013 Age : 26
Bonjour, je m'appelle K. Justice Quinzel et il se trouve que je suis dirigeant du club de musique à l'académie.
Sujet: Re: JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS Jeu 15 Aoû - 18:08
cimer ! histoire postée
Messages : 31 Date de naissance : 05/04/1996 Date d'inscription : 31/07/2013 Age : 28Localisation : Dans les étoiles, mon gars.
Bonjour, je m'appelle Daisuke Akira et il se trouve que je suis dirigeant du club d'athlétisme à l'académie.
Sujet: Re: JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS Jeu 15 Aoû - 19:25
Bienvenuuuue ♫
Messages : 62 Date d'inscription : 24/07/2013
Bonjour, je m'appelle Ethan R. Sterling et il se trouve que je suis étudiant à l'académie.
Sujet: Re: JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS Jeu 15 Aoû - 19:55
validation
∞ Bienvenue !
welcome in the big family
Nous te souhaitons la bienvenue, K. Justice Quinzel, à la Broken Academia. Nous te validons en tant qu'étudiant hybride nous espérons que ton séjour parmi nous soit des meilleurs ! N'oublie pas d'aller Recenser ton avatar ! Ainsi que de faire un tour pour t'inscrire à un Club, te trouver un Métier ou alors faire une demande de Résidence ou d'Habitation. Au plaisir te de voir ! ♥
Bonjour, je m'appelle Contenu sponsorisé et il se trouve que je suis à l'académie.
Sujet: Re: JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS
JE DEGUEULE SUR LA FACILITE DES SENTIMENTS
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